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 Analyse(s) du texte

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MessageSujet: Analyse(s) du texte   Analyse(s) du texte Icon_minitimeJeu 17 Mai - 4:21

Voila une analyse du texte supplementaire à celle faite en cours. Comme vous vous en doutiez peut-être ce n'est pas moi qui l'ai faite hein Wink

EXPLICATIONS


Publié en 1759, Candide ou l'Optimisme de Voltaire est un conte philosophique dans lequel l'auteur critique la naïveté et l'optimisme des philosophes à travers le personnage de Candide.

Au début du chapitre 3, Candide se trouve en plein milieu d'une bataille de la guerre qui oppose les Bulgares et les Abares. Comment évolue la vision de la guerre de Candide, éternel optimiste ? Il est alors intéressant de voir comment est dépeinte la scène de guerre, son ordre et sa beauté, les horreurs causées par le massacre et de quelle façon Candide réagit à ce spectacle atroce.

Ce troisième chapitre nous présente une guerre belle et « utile », décrite comme un spectacle ou comme un jeu. La guerre est considérée comme un véritable défilé, une parade. Le narrateur multiplie les adjectifs laudatifs : « si beau, si leste, si brillant, si bien ordonné », ce qui donne une image de beauté de la guerre, véritable antithèse pour quelque chose d'aussi laid. De même, l'énumération des instruments de musique, incluant les canons, donner au lecteur l'impression d'assister à un concert plutôt qu'à une scène de guerre : « les trompettes, les fifres, les hautbois, les tambours, les canons ». La description de la scène est faite de manière structurée, ponctuée de termes tels que « d'abord », « ensuite », « enfin » qui montrent l'ordre auquel répond le déroulement de la bataille. Cette idée d'ordre est renforcée par le qualificatif « si bien ordonné » qui montre la guerre sous un aspect de défilé militaire.
On peut également remarquer la symétrie à laquelle répond la bataille : « six mille hommes de chaque côté ».

La guerre y est présentée comme un jeu. La vie humaine n'y semble avoir que très peu d'importance, comme le montrent les chiffres exagérés : « six mille hommes », « neuf à dix mille coquins », « quelques milliers d'hommes », « trente mille âmes ». Les armes sont les sujets des phrases, ce sont elles qui tuent et non les soldats, ce qui montre une certaine naïveté du narrateur qui se place du point de vue de Candide, donc du personnage lui-même vis-à-vis de la guerre. Ce procédé a un autre effet : il atténue la guerre en faisant croire au lecteur que la guerre n'est plus l'affaire des soldats mais des armes entre elles. Les expressions « ôter du meilleur des mondes » et « renverser » sont des euphémismes pour dire « tuer ». Ainsi, l'horreur de la guerre est atténuée par le fait qu'elle est considérée comme un jeu, une bataille de soldats de plomb. On peut également dégager de ce texte des faits qui justifient la guerre, la rendant bénéfique et utile. En effet, la guerre nettoie le monde « des coquins qui l'infectent ». De plus, la guerre est approuvée par l'Eglise, comme le prouvent les rois qui font chanter des cantiques religieux à leurs troupes. On relève ici un paradoxe car la religion est censée porter un message de paix et non de guerre. Ainsi, Voltaire critique les dirigeants qui se réclament de dieu pour justifier leurs actes barbares. La guerre est également justifiée par la loi, puisque brûler un village est conforme aux « lois du droit public ». A travers cette première vision de la guerre, teintée de l'optimisme et la naïveté de Candide, Voltaire dénonce de façon ironique la religion et les dirigeants, en donnant un aspect positif de la guerre, en l'atténuant, la présentant comme un jeu et lui trouvant une utilité. Cependant, on assiste ensuite à une autre vision de la guerre, Candide prenant conscience de son atrocité.
En s'éloignant du champ de bataille, Candide va pouvoir se rendre compte des effets provoqués par cette guerre si belle et si bénéfique.L'image d'ordre et de beauté donnée par la première vision va très rapidement laisser place à une vision d'horreur et de désolation causée par cette « boucherie héroïque », oxymore pour parler de la guerre.
On trouve les champs lexicaux de la violence et de la mort, dont les représentants dans ce texte sont essentiellement des participes passés : « mourant », « brûlés », « égorgées », « criblés », « éventrées », ce qui prouve que les civils subissent la guerre et en sont les principales victimes. Les images violentes : « femmes éventrées », et les détails macabres : « cervelles répandues », accentuent l'impression de chaos et d'horreur qui règnent dans le village. On remarque également que l'auteur a choisi de parler des faibles : « vieillards », « femmes », « enfants », pour provoquer indignation et dégoût de la guerre chez le lecteur. On peut aussi observer l'euphémisme « les besoins naturels de certains héros » pour parler des viols commis par les soldats sur les jeunes filles. Les victimes sont considérées comme de la viande et non comme des humains : « des tas de morts et de mourants ».Le désastre causé par la guerre est le même de chaque côté : « village abare que les Bulgares avaient brûlé », « il appartenait à des Bulgares et les Abares en avaient fait de même ». De plus, les chiffres englobent à la fois les victimes du côté bulgare que du côté abare.
Ainsi, Voltaire a voulu dénoncer les dirigeants, les « héros », qui mènent une guerre sans merci sans s'occuper des conséquences sur la population civile qui, même si leur pays est vainqueur, sera massacrée et traumatisée durant la guerre.A travers le personnage de Candide, Voltaire critique implicitement les philosophes. En effet, lorsqu'il écrit « Candide, qui tremblait comme un philosophe », il se moque des philosophes qui prononcent de belles paroles mais restent loin de la guerre. « Aller raisonner ailleurs » est un euphémisme pour dire « déserter, s'enfuir », ce qui signifie que l'auteur considère les philosophes comme des lâches.Si on lit le livre en entier, on s'apercevra que les termes « raison », « causes et effets » et « le meilleur des mondes » font partie du vocabulaire utilisé par le philosophe qui enseigne l'optimisme à Candide.
Ainsi, Voltaire se moque du courant philosophique optimiste, très en vogue à son époque.Parmi les milliers d'hommes qui se battent, Candide est insignifiant, comme perdu dans un monde qu'il ne connaît pas. Il ne remplit pas son rôle de soldat puisqu'il déserte la bataille. Arrivé en dehors du champ de bataille et des villages en ruines, Candide est seul et petit avec ses « petites provisions ».Voltaire se sert du personnage de Candide pour faire la satire des philosophes et de l'Optimisme. Candide, qui se faisait une image préconçue de la guerre, va très vite s'apercevoir que cette idée était fausse devant l'atrocité de la guerre.On peut distinguer dans cet extrait deux visions de la guerre très différentes : la vision optimiste qui montre les aspects positifs de la guerre en les utilisant de façon ironique pour mieux la dénoncer ; et la vision réaliste qui fait comprendre au lecteur et à Candide par la même occasion l'atrocité de la guerre. Voltaire nous fait assister à la désillusion de Candide et à sa prise de conscience. A travers lui, il dénonce le comportement des philosophes face à la guerre. On peut supposer qu'à travers ce texte, l'auteur critique la guerre de 7 ans qui a eu lieu à l'époque contemporaine de Voltaire.


Voila si vous avez d'autres analyses ce serait sympa de les partager Wink
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Oliv

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MessageSujet: Re: Analyse(s) du texte   Analyse(s) du texte Icon_minitimeLun 28 Mai - 21:59

Voici l'analyse de la prof ( merci olivier Smile )



Chapitre 3, Candide



« Rien n’était si beau »

Définir Candide, résumer ce qui lui arrive et dire ce qu’ il fait (assiste à une bataille)

- résumer chapitre 1 et 2
- dire ce qu’il va faire dans le 3
- Candide, un jeune homme élevé au château du baron de Thunder-Ten-Tronckh a été chassé pour avoir embrassé Cunégonde, la fille du baron. Après avoir erré plusieurs jours, il a été recruté et enrôlé dans l’armée bulgare. Après avoir souffert toutes les rigueurs de la discipline militaire, il assiste à sa première bataille qui oppose les bulgares aux arabes.

Le lecteur comme Candide ignore tout des raisons de la guerre mais y assiste au premier plan.

- Lecture
- Annonce du plan : les 2 premiers paragraphes du chapitre constituent un violent réquisitoire contre la guerre. Pour cela, Voltaire utilise 2 moyens principaux : L’ironie dans le 1er paragraphe et le pathétique dans le second.


I - L’ironie


Un des procédé utilisé est l’antithèse : opposition entre le mot armée et tous les adjectifs laudatifs renforcés par l’adverbe si. Antithèse entre harmonie et enfer et aussi entre canons glissé comme un intrus à la fin de l’énumération des instruments de musique militaire. On remarque bien sur que cette énumération va crescendo.
Voltaire utilise aussi plusieurs personnifications qui vont apparaître de + en + comique (canon reversèrent, mousqueterie ôta, baïonnette).
L’auteur utilise aussi plusieurs modalisateurs pour corriger l’énormité du nombre de morts annoncés (il y’a, a peu près, environ, presque, trentaine). Ces modalisateurs ironiques contribuent à l’impression de déshumanisation qui domine dans le paragraphe. Mais l’absurde est aussi présent grâce à la caricature du langage philosophique que l’on retrouve tout au long du passage (meilleur des mondes, raison suffisante). La brièveté des phrases renforce l’absurdité puisque n’apparaissent à aucuns moments les raisons particulières de cette guerre. L’absurdité est aussi signalé dès la ligne 5 avec la répartition très égale des morts entre les 2 camps. Il ne se contente plus de parodier les philosophes mais se moque ouvertement grâce à la comparaison « qui tremblait comme un philosophe ». Enfin, le paragraphe se termine par un oxymore « boucherie héroïque ».



II - Le pathétique



Le paragraphe garde au début une tonalité comique grâce à la parodie du style philosophique et surtout au détail des 2 Te Deum célébrés par les 2 rois : nous sommes dans l’absurde. Cette remarque insiste sur l’inutilité de la guerre et sur la responsabilité des rois. A partir de la phrase suivante, le ton change mais Voltaire décrit avec réalisme et une objectivité indifférente de véritables horreurs qui vont aller crescendo. Ce point de vue externe renforce la dénonciation. Le lecteur constate ainsi que c’est l’être humain qui est conduit par une cruauté absurde puisque arabes et bulgares se comportent de la même façon. Ces mœurs sont admises comme le montre l’expression ironique selon les lois du droit public. L’auteur essaie de garder un ton indifférent pour décrire toutes les horreurs dont sont victimes les civils et bien sur les plus faibles. Pour mieux montrer la cruauté, Voltaire a recours à des adjectifs qui révèlent la barbarie inutile (criblés de coups, égorgés, éventrés, à demi brûlés). Le lecteur est choqué par une sorte d’oxymore « mamelles sanglantes » ainsi que par l’ironie de l’antiphrase du mot héros et des besoins naturels des héros.
Voltaire ainsi mêle de façon très forte ironie et pathétique pour révéler ses propres idées. La fin du paragraphe se termine par un réalisme exagéré que Voltaire va beaucoup utiliser dans tout le roman. La dernière phrase du texte renvoie dos-à-dos les différents protagonistes.


Conclusion

Dans ce texte, nous avons discerné derrière le récit la position de Voltaire violemment hostile à la guerre dont il démontre ici l’inutilité, l’absurde et la barbarie. Ces défauts semblent appartenir à tous les hommes mais il y a des responsables : les meneurs d’hommes, ici les rois. Ce récit de la bataille constitue donc un véritable petit apologue.
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MessageSujet: Re: Analyse(s) du texte   Analyse(s) du texte Icon_minitimeMar 29 Mai - 1:43

Candide chap3 'La guerre'


Intro :
• En plein milieu d'une bataille Bulgares/Abares.
• Condamnation guerre conquête s'inscrit dans combat philosophes pour construire société + humaine et civilisée. On peut supposer qu'à travers ce texte, V critique guerre de 7ans (1756).
• Pamphlet dirigé contre guerre, protagonistes et conséquences


1) Une peinture ironique de la bataille :

a. Un spectacle de défilé militaire :
• Caractère esthétique paradoxal, énumération adjectifs laudatifs renforcés par si
• Description structurée, ponctuée : 'd'abord, ensuite, enfin' : montre ordre du déroulement bataille.
• Qualitatifs et superlatifs 'si bien ordonnée, telle qu'il n'y en eu jamais' : montre guerre sous un aspect de parade militaire (voire marche militaire : 'si ordonné, que les 2 armées' (rime)
• Rythme très sautillant 'si beau, si leste, si brillant'
• Enumération instruments musiques : + aigue au + grâce : impression concert à la place de guerre
• Symétrie de grande ampleur : '6000 H de chaque côté'
==> Parodie du registre épique : pers apparaissent grandis, glorifiés, images valorisantes

b. Une brusque rupture : la fanfare tourne au cauchemar :
• 'Canons' à la suite instruments musique : idée de mort
• 'harmonie/enfer (antithèse) V marque opinion ironique et amorce subtil renversement
• Derrière la brillante façade : chaos et terreur

c. Un regard déshumanisé :
Armes, hommes = chair à canon
• Narrateur donne bilan d'ensemble objectif, sinistre sans marque d'indignation : + percutant, efficace
• Emploi chiffres peu précis ('quelques, environ') : accorde très peu de prix à vie humaine
• Armes : sujets phrases, elles qui tuent et non soldats
• 'Ota du meilleur des mondes, renverser' : euphémismes pour dire tuer. Horreur atténuée, choc estompé, guerre considérée comme un jeu
==>Oxymore 'boucherie héroïque' réunit 2 faces de la médaille de la guerre : illustre carnage sanglant comparé à exécution animaux dans abattoir, glorifié sous le masque épique


2) Une peinture pathétique des massacres :

a. Changement de ton pour une vision trop horrible physiquement et moralement :
• Changement de ton : V cesse d'être ironique (dès: 'tas de morts et mourants') : réalité trop insoutenable, ironie déplacée
• Idée champ bataille dépassée, guerre tout autour et même davantage chez ceux qui ne l'ont pas demandé (indicateur 'ici et là : appuie image horreur répandue et à son comble)
• Au concert militaire, se substitue cacophonie stridente (cris de peur, agonie, derniers soupirs) et tragique regard muet des vieillards.

b. Un chaos subit :
• Lexique extrême violence et mort : 'vieillards criblés de coups, filles éventrées, femmes égorgées, mamelles sanglantes' (Oxymore : lait=vie / sanglantes=mort)
• Victimes décrites par participes passés ('mourant, égorgées, brûlés, éventrées, criblés...') : civils sans défenses subissent guerre (assonances en é qui scandent texte => chant vers la mort, funérailles)
• V choisi parler être faibles ('vieillards, femmes, enfants') pour provoquer indignation car non combattants et dégoût de la vision atroce au lecteur
• Désastre causé est le même de chaque côté
==> Efface marques d'ironie face autre spectacle trop horrible, prend ton austère et laisse lecteur soin de juger lui-même cette barbarie


3) Les visées argumentatives :

a. Un fléau absurde sans justification :
• 'Boucherie héroïque' (oxymore) : selon V guerre = massacre sanglant, inutile qui démystifie la notion héroïsme
• Parallélismes :
- les 2 rois font chanter des Te Deum en même temps
- 1er village Abare est 'en cendres' le 2nd est 'traités de même'
- ressemblance Abare (connotation barbare : inhumain, cruel) / Bulgare (nbre syllabes et assonances)
==> Ni vainqueur, ni vaincu, aucun enjeu : guerre sert à rien, c'est là que veut nous conduire V
• V dénonce aussi le fait que la guerre soit justifiée légalement car brûler un village est conforme au 'droit publique', ce qui élève les cruauté à des lois, usages.

b. La responsabilité des dirigeants, de la religion et des soldats :
Un trait de satire lancée par le Te Deum :
• Indicateur 'tandis que' révèle véritable place des Rois : lâcheté car restent à l'écart, arbitraires et insensibles (se soucie peu des pertes, sans doute les chiffres peu précis se rapportent à eux)
• Rois rendent grâce à Dieu pour remercier, chacun dans leurs camps : les 2 se croient victorieux (emballement)
• Chacun croient l'avoir de leur côté : Dieu associé à telles atrocités = idée scandaleuse
• Guerre approuver par Eglise, paradoxe car religion censée porter mess de paix et non guerre
• Critique de accord, réunion d'intérêt des chefs d'armée et église qui bénit massacres.
Rois et Héros : bourreau des sans défenses :
• V s'indigne clairement dans 2nd partie contre ceux qui mènent guerre sans merci, sans s'occuper conséquences que population civile qui, même leur pays vainqueur, sera massacrée et traumatisée
• Usage litote, atténuation réalité (dit- pour suggérer bcp) : 'besoins naturels de quelques héros' = viol. V accuse soi-disant 'héros' qui prouvent en rien leur bravoure et dignité en violant filles de l'ennemie

c. La critique des philosophes de l'optimisme :
• 'Ota du meilleur des mondes – 9 à 10000 coquins qui en infectait la surface' (antithèse ironique) : si tout vas bien dans meilleur des mondes, morts ne peuvent être que des coquins et donc raison suffisante, bénéfique d'en assainir le sol !
- Lecteur peu convaincu idée d'un bien dans ce mal car V en fait une expression optimiste si paradoxale qu'on ne peut l'admettre
• C s'accroche du mieux qu'il peut au souvenir préceptes P qui s'accordent très mal avec la réalité
• 'C qui tremblait comme un philosophe', V se sert de C pour se moquer implicitement philosophes qui prononcent des belles paroles mais restent loin des conflits :
• 'Aller raisonner ailleurs', euphémisme de s'enfuir
• Anti-héros : Parmi milliers d'H qui se battent, C insignifiant, perdu et bouleversé, ne remplit pas rôle soldat puisqu'il déserte. Encore enfant, sans expériences, et moralement pas prêt


Conclusion :
2 visions de guerres très différentes :
- vision optimiste, montre aspects + de façon ironique pour mieux la dénoncer
- vision réaliste, fait comprendre au lecteur et à C par la même occas. son atrocité
V nous fait assister à désillusion de C et à sa prise de conscience.
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